La lecture, ça fait un bail que je lis de moins en moins, et surtout je lis un peu partout dans les journaux, les bouts de papiers, les articles sur Internet …
Invitée (dèjà deux foix ) par Oueld L’Blad et ma chère nadouda, je vous laisse pour découvrir mes lignes de lectures J :
Les livres de mon enfance :
- قصص جحا
- مجموعة قصصية لا اتذكر اسمها تضم كل القصص الشهيرة
اظن انها كانت الاكثر انتشارا في المدارس الابتدائية-
- كل ما كتب مصطفى لطفي المنفلوطي من نظرات و عبرات و مختصرات
- Les écrivains que je lirai et relirai encore :
- Mahmoud Darwish
- Paulo Coelho
- Mustapha loutfi al manfalouti
- جودت سعيد
- مصطفى صادق الرافعي
- محمد الغزالي
- Les auteurs que je ne lirai probablement plus jamais :
- Bahaa Trabelssi
- Najeeb mahfoud
- les livres que j'emporterais dans une île déserte :
- Le Coran
- جدد حياتك للغزالي
- لا تحزن لعائض القرني
- Mahmoud Darwish
- Et si c’était Vrai de Marc Levy
- Les premiers livres de ma liste de lecture :
- Et si c’était Vrai de Marc Levy
- l’alchimiste
- جدد حياتك
- Tous les poèmes de Mahmoud Darwish
- Les livres que je suis entrain de lire :
- وحي القلم
- «مدخل إلى القرآن الكريم» لمحمد عابد الجابري
Un extrait d'un de mes livres préférés :
L’Alchimiste prit en main un livre qu’avait apporté quelqu’un de la caravane. Le volume n’avait pas de couverture, mais
L’Alchimiste prit en main un livre qu’avait apporté quelqu’un de la caravane. Le volume n’avait pas de couverture, mais il put cependant identifier l’auteur: Oscar Wilde. En feuilletant les pages, il tomba sur une histoire qui parlait de Narcisse.
L’Alchimiste connaissait la légende de Narcisse, ce beau jeune homme qui allait tous les jours contempler sa propre beauté dans l’eau d’un lac. Il était si fasciné par son image qu’un jour il tomba dans le lac et s’y noya. A l’endroit où il était tombé, naquit une fleur qui fut appelée narcisse.
Mais ce n’était pas de cette manière qu’Oscar Wilde terminait l’histoire.
Il disait qu’à la mort de Narcisse les Oréades, divinités des bois, étaient venues au bord de ce lac d’eau douce et l’avaient trouvé transformé en urne de larmes amères.
« Pourquoi pleures-tu ? demandèrent les Oréades.
- Je pleure pour Narcisse, répondit le lac.
- Voilà qui ne nous étonne guère, dirent-elles alors. Nous avions beau être toutes constamment à sa poursuite dans les bois, tu étais le seul à pouvoir contempler de près sa beauté.
- Narcisse était donc beau ? demanda le lac.
- Oui, mieux que toi, pouvait le savoir ? répliquèrent les Oréades, surprises. C’était bien sur les rives, tout de même, qu’il se penchait chaque jour ! »
Le lac resta un moment sans rien dire. Puis :
« Je pleure pour Narcisse, mais je ne m’étais jamais aperçu que Narcisse était beau. Je pleure pour Narcisse parce que, chaque fois qu’il se penchait sur mes rives, je pouvais voir, au fond de ses yeux, le reflet de ma propre beauté.»
« Voilà une bien belle histoire », dit l’Alchimiste.
~~~~ Prologue: L'Alchimiste
- Les blogeurs que j’invite pour répondre aux mêmes questions :
- Altaiboun
- Nezha
- Marrokiya (snina ;))
- Jooba